Moral dans les orteils
Mercredi 17 avril 2013 : Que s'est-il passé lundi dernier ? Suis-je maudit ?
Journée normale après un dimanche passé sur la plage et sous le soleil à ne rien faire. Et puis en soirée, soudaine et violente douleur sous le pied droit. L'impression d'un câble tendu au
maximum entre les orteils et le talon. Très difficile de poser le pied et rapidement... des milliers de questions.
Mardi matin, je réveille ma podologue aux aurores (merci 1000 fois à elle pour sa disponibilité). A midi, mes pieds sont entre ses mains. Elle m'annonce que mon pied s'est complètement noué (le péronier latéral serait en cause) !!! Il lui a fallu 50' de manipulation non-stop pour tout remettre en ordre. Le pourquoi du comment pourrait être ma journée passée sur la plage, pied nus, à marcher alternativement sur le sable, les coquillages, les rochers... Des appuis inédits pour mes pieds qui ont passé l'hiver à courir chaussés avec des semelles orthopédiques.
Ce soir, la douleur s'est globalement bien dissipée mais pas à 100%. Je devais aller courir 45' cet après-midi, mais je n'ai pas osé. Peur de tout rebloquer. Ma podologue a beau m'affirmer que je pourrai courir dimanche, je broie du noir. 4 jours pour me refaire une santé et un moral de vainqueur, est-ce possible ? Faut-il m'accorder 15 jours de plus et m'aligner finalement au marathon du Mont St Michel le 5 mai ? J'en saurai plus demain soir après un léger footing "test" suivi d'un check-up de mes deux pieds.
Une tuile en pleine poire comme pour illustrer la loi des séries. Je n'ai jamais pu prendre le départ d'un marathon sans pépin les jours précèdents :
- 2009, Mont St Michel, rotules en vrac. - 2011, Vannes, ulcère de l'oeil. - 2013 : Nantes, pied droit noué.
Mardi matin, je réveille ma podologue aux aurores (merci 1000 fois à elle pour sa disponibilité). A midi, mes pieds sont entre ses mains. Elle m'annonce que mon pied s'est complètement noué (le péronier latéral serait en cause) !!! Il lui a fallu 50' de manipulation non-stop pour tout remettre en ordre. Le pourquoi du comment pourrait être ma journée passée sur la plage, pied nus, à marcher alternativement sur le sable, les coquillages, les rochers... Des appuis inédits pour mes pieds qui ont passé l'hiver à courir chaussés avec des semelles orthopédiques.
Ce soir, la douleur s'est globalement bien dissipée mais pas à 100%. Je devais aller courir 45' cet après-midi, mais je n'ai pas osé. Peur de tout rebloquer. Ma podologue a beau m'affirmer que je pourrai courir dimanche, je broie du noir. 4 jours pour me refaire une santé et un moral de vainqueur, est-ce possible ? Faut-il m'accorder 15 jours de plus et m'aligner finalement au marathon du Mont St Michel le 5 mai ? J'en saurai plus demain soir après un léger footing "test" suivi d'un check-up de mes deux pieds.
Une tuile en pleine poire comme pour illustrer la loi des séries. Je n'ai jamais pu prendre le départ d'un marathon sans pépin les jours précèdents :
- 2009, Mont St Michel, rotules en vrac. - 2011, Vannes, ulcère de l'oeil. - 2013 : Nantes, pied droit noué.
Commenter cet article